Départ 7 :45, arrivée 16:15.
102 km avec 850 m de dénivelé.
J'ai presque réussi à avoir le même petit déjeuner qu'hier à l'hôtel sauf que le café était glacé dans un verre avec plein de mousse. J'ai dû dire quelque chose qu'il ne fallait pas. Hier soir même resto, c'est slouvaki (brochette), gyros (le truc qui tourne) ou poulet (à la broche) rien d'autre et un peu partout il y a une quantité phénoménale de bar mais pas de resto.
Direction le sud par la côte.
Toujours la montagne dans la mer sauf en partant. La côte est belle mais c'est le désert pas d'habitation sauf des fermes marines (photo 3) et des fermes à moutons ou chèvres (photo 1). On a l'impression que c'est un pays oublié. Mais il y a des artistes. Photo 2 un randonneur en vélo. Photo 5 un mirage de chez Dassault.
Il faut arriver à Astakos pour voir un village intéressant. C'est un port et c'est même la 1ère fois que j'aide un bateau à accrocher ses amarres. Je regardais et comme il n'y avait personne sur le quai c'est moi qui ai attrapé les cordes puis ils se sont débrouillés. Photo 6 un bateau avec qui je faisais la course pour arriver au port d'Astrakos. Il a gagné.
Arrivé à Aitoliko, je suis un peu déçu. C'est un village sur une île reliée à la côte par 2 ponts de chaque côté. Rien d'intéressant. L'hôtel est le seul et ne fait ni resto ni petit déjeuner alors qu'il fait bar !! Dans tout le village c'est laissé un peu à l'abandon comme si personne ne s'occupait d'entretenir. Pourtant là comme ailleurs il y plein de bistrot avec plein de mecs à boire. Photo 5 la vue de ma chambre.
C'est vraiment un mirage, car la photo n'a pas voulu se publier !! Autrement il devait venir de Shimatari, y passes-tu. Si oui, pousse jusqu'à l'ile d'Eubée. Il y a un pont (très court) qui la relie au continent et tous les 6 h le courant sous le pont s'inverse (ça suit les marées !) c'est marrant !! bonne nuitée Le Marco et prend garde aux mosquitos !
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